Nous possédons maintenant sur Terre, grâce au BIG DATA de moyens très performants et sûrs d’analyses fines par l’informatique dispatchées, réparties puis regroupées, traitées en centre de calculs et de prospective, des moyens étonnants pour faire varier les perspectives des paramètres sociaux, économiques, financiers, écologiques les plus complexes et fins.
Durant la décennie 80, j’avais moi-même travaillé 5 ans pour collecter des données de performances industrielles pour le siège d’un grand groupe, soit environ 220 paramètres à faire évoluer sur 53 usines situées de par le monde, des cimenteries. Tâche ardue à l’époque car la programmation lourde, la rigidité des logiciels à inventer n’aidait en rien.
Ce n’était rien en comparaison de la collecte immense de données en astrophysique… !
Mais ce qu’on sait faire pour l’espace, il y aurait une négligence coupable à ne pas en développer d’abord les moyens équivalents pour analyser les données et faire de la prospective au sujet de notre si belle planète, Chef-d’Oeuvre du Vivant !
Face à l’accroissement de l’effet de serre dû à l’excès de gaz fossiles dans l’atmosphère, les « performances » cimentières étaient coupables de ne rien régler du tout en terme d’élimination de CO2, sans parler de l’autre côté des dégâts de non correction des cimes plus assez entières, plus suffisamment couvertes d’arbres par érosion ou négligence humaine.
Comme la situation sociale et de l’emploi mondial actuel montre que les perspectives de développements s’essoufflent dangereusement, ce monde ne peut s’éviter de travailler beaucoup plus en prospective tous azimuts, en modélisations croisées variables, pour connaître les conséquences précises de tout choix politique, social, économique, écologique.
La complexité abusive de notre monde moderne, presque inévitable en raison de la surpopulation et de la mécanisation non régulées comme il le faudrait (la nature s’en chargeait si bien autrefois pour les naissances et l’utilisation d’outils manuels…, jusqu’à la découverte du cuivre et de l’étain à l’âge du bronze…) nous conduit inévitablement à reconsidérer tout le mode d’analyse et de développement opérationnel de notre société.
La dérive actuelle des prétendues « idéologies politiques valables » vers le protectionnisme ou le nationalisme (« Bannir les collectivismes en isme il faudrait ? »), sans perspective de solutions autres, nous démontre qu’il est urgent de ne plus aller de gauche à droite, ou, de continuer à naviguer entre deux eaux de conscience en terme de gestion planétaire.
Une rigueur encore plus importante que celle de surveillance des performances industrielles abusives s’impose. Elle ne peut être réservée à quelques spécialistes pointus à gros cerveaux et grosses lunettes qui soient les seuls à comprendre ce qu’il font.
Il faut donc que tous les paramètres collectifs en cause soient expliqués aux peuples suivant des schémas camemberts et graphes clairs, continuellement mis à jour, tout en exposant toutes les variantes possibles. ou de leur donner la possibilité de faire des simulations personnelles sur des programmes appropriés les concernant directement (choix d’études, financiers, de placements à long terme, de formation continue, de population, de mariage…, etc).
Non seulement il sera impératif que nos dirigeants, nos élus soient experts en ces questions-là, mais que chaque individu puisse le devenir aussi afin de comprendre ce qu’on leur prétend vrai ou pas.
Plutôt que de seulement calculer à l’école des débits de robinets qui fuient ou de faire de la philosophie complexe qui ne résout rien en vue du bac… Sans savoir à quel point le monde a réellement besoin ou pas de tels enfants formés trop vaguement pour des emplois futurs, si eux enfin bien cernés sur banques mondiales très complètes !!!
Des créneaux de ressources énergétiques multiples, autonomes et décentralisables doivent être trouvées bien avant la fin des énergies fossiles, et que tous aient les connaissances simples pour ne pas traiter la planète que d’une seule abusive manière en jouant sur de soit-disant coutumes locales non analysées autrement :
Ami(e)s,
En regardant (guidé par ma part haute me réveillant même la nuit pour voir le mieux voulu vraiment…) une émission sur les canaux et marais de Vendée, j’y ai vu à mon grand étonnement un batelier remuer de trois coups de rame le fond vaseux des canaux…, bordés d’arbres, puis sortir son briquet et allumer ce qui en résultait au ras de l’eau. Le méthane dégagé des fonds vaseux, produit par les feuilles d’arbres pourries, dégagea alors de longues et importantes flammes !
C’est donc la preuve qu’en faisant méthanisation, même domestique chez soi, par exemple avec deux cuvettes dont l’une plus petite renversée au dessus d’un tel mélange et percée et raccordée à une cuisinière, l’on peut faire du méthane / GNV pour les gazinières, les chauffe-eau les autos électriques à complément d’autonomie au gaz naturel, facilement. Simplement avec les déchets de haies et feuilles d’arbres collectées alentour, si bien fournie dans la nature environnante en mélange de terres cultivées et de rangées d’arbres, dite culture en agroforesterie.
Surtout en pays plats trop arides, secs et sans eau comme La Sicile, le Maghreb, le Moyen-Orient où les peuples ne savent plus comment survivre, alors que les réserves de pétrole prouvent que ces régions étaient abondamment couvertes de forêts en des temps très reculés. Pourquoi pas à nouveau en local. Chacun son propre régulateur climatique et paysagiste en son jardin plein de haies hautes régulées sur le plan du feuillage pour éviter tout arrosage l’été.
Il suffit de remuer légèrement le tout de temps en temps. Le mélange de végétaux gagnerait à être haché avec un hachoir à main sur une planche en bois (pour ne pas faire consommation électrique stupide avec hachoir électrique…).
Une cuvette supérieure renversée peut faire pression si on met des poids dessus, un dico par exemple, et qu’on remplit le bord relevé d’eau pour stabiliser le tout.
Les ukrainiens, en manque de gaz et d’argent…, feraient bien de se dire aligné au mieux à leur part intuitive haute…, pour cela comme pour le reste, au lieu de tout attendre des abusifs de l’extérieur !
Bouger beaucoup en pleine nature (au moins 30 mn de marche rapide par jour) et de se dire précisément mieux, cela sert (la méthode Coué en prime, jusqu’à obtenir un résultat littéral – tout bête…!).
A.J.T.
Au lieu de se laisser aller à toutes les formes de divagations émotionnelles sur le droit au libre-arbitre, sur le « droit » aux grèves incessantes qui font qu’une minorités de travailleurs abuse complètement de prérogatives néfastes, notre société devra devenir prospective de fait, très pragmatique et interactive avec le moins d’erreurs faites. Chacun ayant sa place en fonction de ses capacités intellectuelles et physiques réelles mieux mises en évidence par des contrôles plus doux et progressifs que des examens barrages tel que le baccalauréat en France.
Toute sa vie, l’humain devra remettre en question ses acquis, se tenir pleinement informé des variantes évolutives possibles des mécanismes de société, et de s’adapter plus facilement et progressivement aux défis individuels et collectifs à relever en se formant bien à l’avance.
Ce que le BIG DATA permettra, c’est certain, en calculant les multiples potentiels d’évolutions possibles, ce que aucun humain ou structure classique ne serait capable de faire en temps réel.
Je me suis bien adapté à partir d’une situation de cancre à l’école (peut-être par manque de mémoire à cause d’une sortie de corps enfant…) pour remonter par l’enseignement technique et beaucoup de curiosité incessante, tous les échelons en quittant le classique à 16 ans. Ce qui prouve que tout esprit qui accepte enfin de se faire confiance, se dire plus réactif en interactivité pragmatique d’avec sa conscience multidimensionnelle universellement enfin acceptée connectée et sans filtre pesant du passé, donc vu au bon endroit et au bon moment pour tout, peut y arriver tout comme moi.
En fait, bien avant d’enseigner la lecture de graphiques de bases de données complexes à nos enfants (ces bases locales et globales d’informations interactives du futur, la prospective devenue une matière scolaire courante), une connexion non technologique déjà là est à leur faire connaître intérieurement, nettement plus performante et souple. Cette connexion bienveillante ne peut intervenir sans nos demandes maintenues sans en douter.
LA CONNEXION « SUPÉRIEURE » INDIVIDUELLE, QU’ELLE EST-ELLE ?
Jeune, je m’étonnais autant que ma sœur aînée d’avoir des parents qui ne disaient rien… Il nous semblaient coincés dans leurs croyances et émotions. C’était en partie vrai…, mais, bien plus tard, j’ai réalisé qu’ils étaient pour moi, sans trop le savoir, rien que par leur calme, des enseignants sur la Connexion intérieure d’informations hautes, atemporelle, déjà prévue aux origines de la création des mondes physiques. Une connexion d’informations parfaites, toujours à jour.
Cette connexion unique, infiniment personnelle, qu’on pourrait qualifier d’extralucide à notre niveau 3D, est à faire connaître aux jeunes dès l’école, sans prendre le voile ni faire pension « religieuse » comme moi coincé chez les curés des ânes-niais, car elle est métaphysique (donc scientifique, littérale et sûre, sans jugement) et déjà présente en chacun, au choix de son libre-arbitre, de se faire confiance intérieurement ou non.
C’est par cette petite voix intuitive silencieuse que je reçois tous ces textes à vous transmettre. Tout comme j’ai reçu plus jeune les intuitions pour mieux m’orienter dans mes études et parcours de vie dès que je me voyais enfin mieux, sans filtre de croyance, en laissant tout venir, sans me juger ni juger les autres.
Par contre, à l’inverse, mes pensées mal dirigées me retournèrent tout aussi efficacement mes mal-à-dits et accidents correctifs…, dès lors que je n’étais pas assez doux avec moi-même ou ceux de mon entourage !
LA SIMPLIFICATION DE LA COMPLEXITÉ ACTUELLE EMERGERA-T-ELLE ENFIN AU GRÉ DE NOS INTENTIONS D’ÊTRE ?
Ce préalable de conduite individuelle et responsable de soi a toujours été la base de toute civilisation réussie. Cela est révélé depuis longtemps en canalisations médiumniques (dites channeling en anglais), puisque ces messages font intégralement partie de cette connexion intérieure universelle partout présente Y compris pour les prophètes passés les moins à filtres inquiets.
Au lieu de vous fier à des radio-télescopes tournés vers les étoiles sur une fenêtre spatiale des plus étroites ; imaginez-vous que toute la création soit UN, que vous en êtes déjà UN ; et que plein d’aides multidimensionnelles (non incarnées en 3D seulement) vous soient immédiatement accessibles dès lors que vous cessez de vous maltraiter intérieurement, en doutant de tout et d’abord de vous-même (je suis passé par toute la panoplie des égarements possibles pour en témoigner, semble-t-il…).
Notre civilisation, candidate pour l’évolution universelle la plus sûre, commencera d’abord par se passer de trop d’outils de communication technologiques polluants, déficients, coûteux, pour préférer se croire ouverte à plus simple et nettement plus efficace et naturel, déjà là en soi.
Une connexion affranchie complètement de l’espace et du temps de l’École 3D nommée TERRE (celle où l’on aime dire : T’erre pour des « riens », sans le vérifier autrement que sous l’emprise stupide et naïve de croyances collectives « nécessaires », telles que les religions, les dogmes politiques et autres…).
OH, REFUGE IDÉOLOGIQUE… CHAIRES-RITES…, QUAND TU NOUS TROMPE !
Pour se rassurer, tout enfant se précipite d’abord pour copier son entourage croyant ne connaître rien d’autre. Alors même que, tout petit, il était déjà connecté de manière multidimensionnelle, sans trop savoir qu’il pouvait exploiter cette connexion de manière précise, littérale et sûre, pour son plus grand bien.
C’est juste cela qu’enseigna la mère de Nikola Tesla a son fils. Rien d’autre ! Il ne tarda pas à l’exploiter comme je le fis de mon côté, mais d’une manière hautement technologique bien finement inspirée, car le croyant possible en lui-même.
En fait, chacun se crée ses limites de connexion intérieure universelle parfaite rien qu’en multipliant progressivement les doutes sur soi. Cela est pareil pour tout ce qui se passe de fâcheux en nos vies, qu’on soit anorexique, boulimique, cancre, obsédé de l’autre sexe, de manques quelconques d’argent de réussites, de collections matérielles…, et peu importe ! Eux aussi sont littéraux et sûrs de l’autre côté si accrocheur et tentant pour les émotifs non contrôlés !!!
Reste qu’on n’emporte-rases rien… de tout cela au part-radis/Ra-dits !
LES DITES « TRADITIONS ANCESTRALES BONNES à SUIVRE en fermant les yeux» QU’EN FAIRE ?
Il est à noter que énormément de peuples, tout en respectant les énergies d’ensemble, se firent piéger de toujours par certaines traditions ancestrales non passées au crible de l’analyse de potentiels autres à expérimenter. On faisait confiance aux anciens, sans voir que pour la plupart, eux ne faisaient que répéter, par paresse et par soumission passive ce qu’on leur avait prétendu vrai en leur enfance docile.
Il en est ainsi des traditions d’excès de bétail en savanes fragiles, comme d’excès de poteries demandant trop de bois de chauffage pour leur fabrication. Tout comme maintenant, de nos jours, de suivre docilement la mode consumériste inculquée sans discernement par les médias. Toujours plus au dépend des grands équilibres énergétiques et de la propreté planétaire indispensable au Vivant.
Le Vivant est notre garde-fou sensé nous montrer sa fragilité créative, évolutive douce, mais face à nos « traditions » fausses, c’est perpétuellement partie perdue d’avance !
Bizarre que l’Ensemble très Équilibré n’interpelle pas plus les consciences des excessifs qui achètent et font n’importe quoi…!
Si c’est de la faute des habitudes citadines prises depuis seulement quelques siècles, crues de « bonnes traditions élitistes » quand à perruques poudrées, fard, fixateur de cheveux couvert de beaux vêtements éternels… (sans plis fâcheux, mais pas assez biodégradable) ; ou, celles excessivement technologiques et robotisées par secteurs aveugles du reste, qui nous éloignent de plus en plus du simple bon sens naturel… ; vu l’urbanisation mondiale galopante d’avec la surpopulation centralisée et la démographie jamais corrigée, il y a à nouveau de quoi s’inquiéter.
Quelles guillotines mentales interactives seraient nécessaires, bénéfiques de s’édifier personnellement… ?
SOMMES-NOUS à LA CROISÉE DES CHEMINS, SANS CROISADES « TRADITIONNELLES » EN TROP ?
Difficile de ne pas le remarquer, même pour les plus crus rigidifiés sur leurs positions à étiquettes sectaires. Le sec air et les sèches terres sont là pour nous le rappeler chaque été : il faut changer et revenir plus au vrai durable de tout temps, doux, naturel, sain, joyeusement diversifié et inventif, tout en ayant connaissance fine de toutes les conséquences de nos choix de vie.
Sans plus simplifier arbitrairement nos modes de vie en les étiquetant et les forçant :
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toi tu seras militaire mon fils (et moi mis-lits-t’erre… rien qu’à fortes-niquées) ;
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non, tu seras fonctionnaire comme ton père (du style fonctionne-nerfs à dépression normales à ne plus bouger ni transpirer suffisamment, toujours mécontent et en grève dès lors ;
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ne choisi surtout pas un métier trop risqué dans le privé, car tu ne parais ni assez inventif ni assez entreprenant là où tu en es !
Et voilà notre enfant « modèle » enfermé en des limites, des filtres de croyances qu’il n’a nullement choisies ni jamais cherché à dépasser… Puisque son père, au lieu de se taire et de le laisser se penser par lui-même en le réconfortant d’un sourire, lui imposa gras-voeux-ment en des réunions familiales inns-t’erre-minables ses limites dépassées d’autres époques complètement révolues. Les vieux meubles et tableaux de la maison, à escaliers usés par le temps des pas lourds de résignés à finir bourgeois, confortant ces folles vies fausses à l’envie… !
Il suffit de regarder le jeu inns-épuisable de parades des royautés en fin de course (ne serais-ce que lui) ; sans parler des leurres à voitures de courses ou carrosses relookés qui tournent en rond pour « rien » ; pour comprendre à quel point l’on nous a leurré en toutes époques ; rien qu’afin de tenter d’asseoir un pouvoir figé, exorbitant, de prétendus « réussis » trompant tout « son » monde en déguisements grotesques.
Même que les jeux en consoles, du type militaire et autres, ne consolent plus personne tant leurs débilités affligent à nous les rabâcher tels des jeux de robots… ! Sauf qu’elles maintiennent plein d’esprits naïfs en hypnose réelle, elle, chez ceux qui ne veulent pas trop réfléchir ni « se casser » dans des démarches de vies fixes à l ‘excès, maniaques ou phobiques, qui les mèneront plus tôt que d’autres droit… à la casse, au pis-l’or-rite… !
Noeuds vous ZAC-fols-laids pas, votre part cells-lestes, si très sainement bougée, adore les mélanges des mots pour éviter les pollutions des maux-t’hard n’ayant pas développé assez de bons mots-tôt bien dits. Vous casquez un max en costume en cuir sombre, bien fête’ss pour vous !
J’ai moi-même donné à ce jeu de faux équilibres, et failli y rester en quelques virages mal négociés, sauf que mieux vu qu’au pire inn-ex-trrrrrrrrrr’aime-hisse.
LE CULTE DE LA CIVILISATION PERD-FORME- HANTE STRESSÉE ET PRESSÉE DE SE FIXER EN VILLE A-T-IL ENCORE DES CHANCES DE PERDURER ?
En regardant une émission sur l’Équateur en Amérique Latine où les dirigeants s’empressent de copier l’Occident « riche à triches » à chercher à construire « rapidement » une ruineuse « ville des sciences » avec leur revenu provisoire de pétrole ; alors que leurs populations indiennes originelles ont été poussées, par abus des riches captant toutes les bonnes terres, à fuir les montagnes pour s’entasser en favelas ; cela révèle une tendance mondiale de la précipitation des copiages de pays prétendus réussis, mais que naïvement l’on n’a jamais pu croire devoir analyser à fond…, avant de se risquer à les suivre. Juste à ne se laisser qu’avec des apparences clinquantes du style Las Vegas qui ne ‘perde-urée-ra-pas’ car entourée que de désert, toux comme les autres.
Le vrai redressement de civilisation, là comme ailleurs, devra s’évertuer de redonner du sens à nos vies calmes en campagne, comme jardinier paysagiste et climatologue thermicien bon teint, celui basané de vrai soleil bien sûr, et le moins possible à ne valoriser faussement que les teints livides et malsains, bronzé aux UV dangereux des viles villes.
L’on sait depuis toujours que l’excitation stressante des villes ne donnent rien, surtout si à jouer un jeu forcé de catégorisations sociales obligées de se battre pour survivre. Le collectif prime, mais pas n’importe lequel ni dans n’importe quel affolement, comme nous le montre l’ouverture à la concurrence du réseau ferré de France. rien de préparé longtemps d’avance pour. Bof, le personnel s’adaptera ! Marche ou crève !
Les chemineaux ont raison de faire grève si la complexité diluée du système de gestion ferroviaire menace la sécurité par dispersion des responsabilités et des structures. Laquelle dispersion s’emballe pour « raison d’État », en fait, par effet de pression européenne prétendue capable de « normaliser » par diktats presque soviétiques…, mais encore trop lié aux lobbies parcellaires du « modèle » capitalisme, lui aussi autant à changer que le prétendu « modèle » commune-liste d’autre-foires.
La croissance des prises de conscience de l’humanité (liée à la croissance des communications et de l’information) envers d’autres potentiels de changements plus décisifs, mieux analysé et gérés en continu, fait qu’on arrive à des impasses, sinon des croisées de chemins à franchir vis à vis des scléroses présentes.
Le matérialisme trop rigide se coltine à la souplesse grandissante du virtuel, de l’immatériel des connaissances accumulées grandissantes qui n’a plus trop la patience d’attendre ceux qui ne veulent rien changer.
Le nouveau monde, l’aboutissant épanoui de civilisation sera à la fois Vivant, Virtuel et Réactif ou ne sera pas ! Il faudra efficacement corriger les dérives, les erreurs et ne plus « faire »… qu’en parler !
La société industrielle « FAST » n’a aucun mérite quand elle s’empresse de couler du béton avec de la ferraille pour se donner une importance exagérée (dite « très moderne »), ou, pour favoriser les pouvoirs de quelques prétendus correctement élus (rien que sur des promesses qu’il se savent déjà incapables de tenir). Cela en accroissant les inégalités par spéculations massives, bulles financières et immobilières qui détruisent derrière toute cohésion sociale et vitale évolutive sur le long terme.
Ou l’humain conscient en sa part haute de l’âme retrouve ses pleins droits responsables de soi et de votation par instructions lucides, en prise avec son époque. Ou bien, à défaut, ce sera le rôle d’ordinateurs très puissants et très évolués d’analyser à sa place les foules de potentiels nouveaux sur des masses de données colletées de toutes parts de par ce monde. Voire, de concilier l’évolution des deux systèmes en permanence.
Alors, une normalisation mondiale de diffusion de données immédiatement comparables sera nécessaire. Bien évidemment qu’une société qui se complexifie ne peut le faire qu’avec prudence, sachant toujours plus raison garder.
A l’inverse, une société trop active, trop dynamique,avec des moyens accrus très performants devrait s’équiper de garde-fous, de moyens d’analyse et de contrôle, de gestion des redressements des dérives subies aussi efficients que son activité débridée.
Hors, quand on regarde à l’heure actuelle la prolifération mondiale de constructions monstrueuses :
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tels les gratte-ciels uniquement pour gens aisés qui n’en veulent, ou vides d’habitant car aux charges d’entretien énormes…(les retraites d’actifs ne suivant plus le même rythme),
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les banlieues de mégalopoles sans plan d’urbanisme,
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les zones industrielles et commerciales immenses (devenues en friches à la récession suivante),
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les cadavres d’une prétendue « croissance valable, inespérée» gardées sur les bras et jamais démolies (comme à Détroit avec l’industrie automobile en surproduction hâtive non régulée),
il y a de quoi se demander quelles tromperies les gouverne-ment du monde espèrent-ils encore longtemps nous faire valoir sans se dévaloriser définitivement, en détruisant l’idée de partis politiques naïfs du même coup.
C’est pour cela que les garde-fous analytiques de la mondialisation de toutes les données sociales, économiques et financières permettant l’étude collective des nouveaux potentiels à prévoir ne seront évitable à aucun système de notre société actuelle et future.
Sataniser les ordinateurs mondiaux en rendant leur clarté d’accès opaque sera la pire des bêtises à ne surtout pas envisager de faire, car les jeunesses qui viennent, fortement éduquées et de qui l’on exigera toujours plus de performance, très informées smartphone en main, ne l’accepteront pas !!! –
Nique haies te nonc…. Ciné squat nonnes… (mon reste de Late-inn remanié par E.T.)